Cayouche exprime à sa façon si humaine la formidable secousse de fierté qui a envahi l’ensemble du groupe canadien-français au Manitoba lorsque le poste de radio privé est entré en ondes au surlendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Grande a en effet été la conséquence de la venue au monde de CKSB sur le moral des gens psychologiquement cassés par l’inflexibilité du Maître anglais.
Retour en en page 4 l’éditorial sur les raisons qui ont relancé l’espoir d’une vie en français dans la Province du Milieu.
Bonne fête CKSB!
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