Entre musée ambulant, festivités dans les écoles, reconnaissance des pionniers, les activités seront multiples. Elles s’étendront sur toute l’année scolaire.
À l’occasion du lancement des festivités, la Division scolaire franco-manitobaine (DSFM) a dévoilé un nouveau logo. Plus simple. Alain Laberge, son directeur général, explique. « Nous voulions un logo qui nous rassemble, qui nous ressemble, qui souligne l’inclusivité et la diversité dans nos écoles. »
Pour le directeur général, ses 30 dernières années n’auraient pas pu se faire sans les partenaires en éducation. « Dans un projet de magazine, nous voulons aller chercher les témoignages de personnes qui ont été des figures marquantes de notre DSFM. Ce magazine doit pouvoir parler à plus d’une génération. Par exemple, on veut voir des élèves qui sont passés par la DSFM, ont suivi leurs études à l’Université de Saint-Boniface et reviennent ensuite enseigner dans les écoles de la DSFM. »
Continuum en éducation
Et ce continuum en éducation, Brigitte L’Heureux, directrice générale de la Fédération des parents de la francophonies manitobaine, l’appuie fermement. « Être partenaire avec la DSFM est super important. Déjà, il est important de rappeler que c’est la Fédération provinciale des comités de parents qui est à l’origine du mouvement pour obtenir la gestion scolaire de nos écoles.
« Les parents ont toujours eu un rôle important dans l’éducation des enfants. Il est le premier éducateur. Depuis la gestion scolaire, la FPFM se focalise beaucoup sur la petite enfance pour assurer ce continuum en éducation en français. Ce partenariat est essentiel. »
Un continuum qui se poursuit jusqu’au postsecondaire. Sophie Bouffard, rectrice de l’Université de Saint-Boniface, soutient que « c’est un partenariat d’importance capital. La relation est essentielle puisqu’avec la DSFM, nous sommes un peu la colonne vertébrale de l’éducation. Depuis plusieurs années, nous avons une entente de travail. Nous oeuvrons pour le bien pour le système éducation en français. »