L’archidiocèse de Saint-Boniface a créé une nouvelle commission pour la promotion des vocations.
Camille SÉGUY
L’archevêque de Saint-Boniface, Monseigneur Albert LeGatt, l’affirme, le contexte socioculturel pour un prêtre a beaucoup changé en 50 ans et a affecté le nombre de vocations à la prêtrise.
« Entre les années 1920 et les années 1980, le nombre de séminaristes est tombé en flèche en Amérique du Nord, indique-t-il. Ça s’explique par un monde beaucoup plus sécularisé, avec beaucoup plus d’opportunités de travail pour les jeunes que la prêtrise. Il y a 50 ans, on disait que les hautes études, c’était soit avocat, soit docteur, soit prêtre. »