Daniel Preteau et sa fille Zoé ont eu peur de voir monter l’eau jusqu’à leur habitation en ce début de printemps. Avec leur cour inondée et la balançoire des enfants au beau milieu, l’heure reste à la vigilance. Pour ce francophone de Saint-Malo, le stress de sa toute première inondation a déclenché chez lui un sentiment de compassion pour les autres sinistrés. Rassuré que la Rivière-aux-Rats ne montera pas davantage, il souhaite maintenant prêter main forte à ses compatriotes.
En page 3, La Liberté du 20 au 26 avril 2011.