Arrivés dans le parc, les élèves se sont ensuite répartis pour participer à l’un des 44 ateliers disponibles. Les jeunes avaient l’embarras du choix, entre le hockey, l’impro, le théâtre, le crochet, la danse, le collage, et même la fabrication de déodorant et baume à lèvres naturels.
La Liberté aussi a eu le plaisir d’offrir un atelier de « reportage en action » à 16 élèves, qui avaient pour mission d’interviewer leurs camarades face caméra pendant la matinée.
L’après-midi, les groupes Cht’koot et P’tit Belliveau se sont succédé sur scène et de nombreuses activités étaient organisées en extérieur. Vieille de plus de 35 ans, la tradition du grand rassemblement avait dû s’interrompre à partir de 2020 en raison de la crise sanitaire. L’édition de cette année marquait donc son grand retour.
Le directeur du CJP, Derrek Bentley, s’est dit très heureux « de revoir la jeunesse se rassembler », et indique que le groupe d’élèves reçu aujourd’hui figurait parmi les plus importants que le CJP ait reçus.
« Ça faisait trois ans que l’on n’avait pas fait Aléa. Nous nous étions fixé 1 200 élèves comme maximum et nous avons atteint notre objectif. On pense déjà à l’année prochaine et aux changements que l’on pourrait faire. »
Sur la liste d’attente de cette année figuraient deux autres écoles, soit environ 400 jeunes de plus, alors l’objectif pour la prochaine édition sera d’accueillir encore plus de personnes. Non sans difficulté cependant : « Le défi, ce sont les ateliers du matin. C’est difficile de trouver des gens qui peuvent se permettre de nous donner une matinée pour animer un atelier. »