Ce congrès est le plus grand rassemblement en éducation de la langue française du Canada et, comme le veut le mandat de l’ACELF, les dix provinces et les trois territoires du Canada y sont représentés à travers les participant.e.s et la programmation.
Cette année, c’est la délégation manitobaine, la Division scolaire franco-manitobaine (DSFM) qui a accueilli ses pairs de tout le Canada. Pour Luc Brémault, directeur de la programmation à la DSFM, c’est un honneur d’accueillir le Congrès de l’ACELF « chez nous ». « Ce sont deux grandes journées de réseautage, de partage et de reconnaissance de qui nous sommes. On se rassemble en tant que minorités dans nos milieux. Et ensemble, on peut faire de grandes choses. »
Plus de 700 personnes ont répondu présentes à l’évènement, qui avait pour thème cette année Nos 1 001 voix. Luc Brémault : « Notre francophonie change et est de plus en plus diversifiée et variée. La construction identitaire, langagière et culturelle fait partie de notre mandat et de nos échanges. »
Au programme de ce Congrès, on a pu retrouver : un salon d’exposants composés d’acteurs, de partenaires et d’allié.e.s du milieu d’éducation, mais aussi des activités et conférences au fil des deux jours sur des thèmes variés, toujours en lien avec l’éducation en français.
Une délégation Leadership jeunesse était également sur place. C’est-à-dire près de 50 jeunes venant de différents conseils scolaires de partout au Canada, qui étaient présents sur les deux jours pour ajouter leurs voix au Congrès.